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La ligne éditoriale

Le choix du logo, le nom qui en découle

Il n’y a guère que la ligne bleue des Vosges, qui lui arrive à la cheville. Expression devenue courante mais vidée, à la longue de son sens et de sa substance.

        

En tout cas, elle demeure la question bateau, celle qu’on vous pose à tout coup et à laquelle il convient de répondre. Elle se dessine, il est vrai, rarement à grands traits, mais progressivement, parcimonieusement, laborieusement. Surtout au début, tant elle est le produit de hasards, de rencontres, d’opportunités qu’il faut savoir saisir.

        

Elle ne peut être fondée, à mon sens, que sur une exigence de qualité, mise au service du type et du genre de littérature qu’on souhaite ardemment défendre et promouvoir.

        

En ce qui concerne, la ligne éditoriale de Sous le Sceau du Tabellion, elle pourrait se résumer, me semble-t-il, à cette simple idée force : faire de chaque livre, une aventure en soi, une aventure collective, s'entend.

        

Fasse qu’à l’avenir, aucun des titres publiés, n’échappe jamais à cette règle.

Autrement dit,

Sous le Sceau du Tabellion est une maison d’édition à compte d’éditeur.

Son statut est résolument associatif.

Elle compte œuvrer dans le noble domaine de la littérature générale : édition ou réédition d’œuvres littéraires en langue française (romans, nouvelles, essais, poésies).

Au rythme de publication de  3 à 4 parutions l'an.

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Cette trouvaille (ne dirait-on pas un toton qui n’a jamais fini de tournoyer et dont l’ombre portée renforce encore l’allure frénétique ?) résulte de la découverte inopinée de l’étrange paraphe du grand-père de Basile (arrière-grand oncle maternel et principal protagoniste de Feu de tout bois). Il orne en effet, l’original de son acte de naissance, en tout point identique et c’est troublant, à celui d’un acte notarié plus ancien, demeuré en ma possession et signé par une autre main, celle d’un notaire cette fois. Sans doute un de ses ascendants dont le signataire de l’acte de naissance, aurait repris à titre privée, le dévoyant, ce signe distinctif servant autrefois à conférer, l’indispensable caractère d’authenticité, attaché aux actes relevant d’une autorité publique.

                 

Et puis l'étonnante découverte après coup (dans Les Géorgiques de Claude Simon, à propos du sceau du Général de division Jean-Pierre L. St M… de cette description du mystérieux objet (une ruche en paléographie) : « il apposait rapidement, écrasant la plume, comme un sceau, la marque inflexible de l’autorité, un gribouillis, l’espèce de pelote de fils embrouillés que reconnaissaient au premier coup d’œil les destinataires des missives... »

                 

Quant au choix du nom, le mot tabellion, plus ou moins synonyme de notaire, qu’il suffise à notre bonheur, de savoir qu’il trouve son origine dans le latin juridique tabellio qui signifie celui « qui écrit sur des tablettes ». Sans parler de son corollaire, l’adjectif tabellaire du latin tabella (tablette), employé jadis en typographie à propos d’impression tabellaire soit qui se faisait avec des planches gravées, avant l’invention des caractères mobiles.  

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